lundi 13 juillet 2009

Journée d’hier passée à Bergama, site de l’ancienne Pergame, à 75 km au sud d’Ayvalik. Visite dans la matinée de l’Acropole, sur les hauteurs de la ville, au programme : vestiges des temples d’Athéna et Dyonisos (Bacchus, pour toi Momo), théâtre antique qui donne le vertige, colonnes qui ne semblent tenir qu’à un fil… cela m’a rappelé certains cours de grecs !! Pas beaucoup de touristes, un peu les lieux pour nous toutes seules…Plutôt magique.

Sur la route qui redescend vers la ville, nous avons croisé un marchand de tapis qui nous a invité à passer à son magasin. Après un détour par un jardin à thé où des petits vieux jouaient au jeu « okey », nous sommes allées à sa boutique. Il nous y attendait avec son associé et la mère de celui-ci pour goûter la spécialité locale, le fromage de Bergama, accompagné du traditionnel cay. Adorables. Discuter de tout et de rien, de leurs enfants, de Sarkozy, de Carla Bruni, de l’Europe… Après ça il nous a emmené sur le 2e site historique de la ville, l’Asclépieion, vestige du centre médicale de Galien, à trois sur sa mobylette (+les sacs) !! Cheveux au vent, on se la pétait grave. Deuxième site tout aussi magique.

Retour en mobylette en passant par des ruelles pavées, heureusement la mobylette avait de bons amortisseurs !! Merci à elle, merci à lui.

Aujourd’hui départ pour Candarli, un autre petit village côtier, pour y réaliser un entretien avec Damla, une étudiante francophone. Et si tout se passe bien, prochaine nuit dans un bus en direction d’Usak…

En parlant d’entretien, nous avons pu réaliser un premier essai à Ayvalik. Essai pas vraiment concluant, mais néanmoins très intéressant, et qui va nous permettre de progresser dans la préparation de l’entretien : choix du cadre (importance de la lumière), apprendre à bien poser les questions, ne pas dire « ok » à chaque réponse… on apprend…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

N'hésitez surtout pas à laisser un petit message :) Même si c'est juste pour faire coucou ! Comme ça on sait que du monde passe, et que l'on n'écrit pas juste pour nos pommes !